>

POEME DE L'ARENOPHILE

Une nuit, j'ai rêvé que je marchais le long de la mer avec mon Seigneur.
Des pas se dessinaient sur le sable, laissant une double empreinte, la mienne et celle du Seigneur.
Je me suis arrêté pour regarder le film de ma vie; J'ai vu toutes ces traces qui se perdaient au loin.
Mais je remarquai qu'en certains endroits, au lieu de deux empreintes, il n'y en avait qu'une.
A cette empreinte unique correspondaient les jours les plus sombres de mon existence.
Alors me retournant vers le Seigneur, j'osai lui faire des reproches:
"Pourquoi m'as-tu laissé seul aux pires moments de ma vie ?"

Mais le Seigneur me pris la main:
Mon enfant bien aimé,
je ne te laisserai jamais seul, les jours où tu ne vois qu'une seule trace sur le sable, c'est qu'alors je te portais dans mes bras.

Adémar de Baros (poète brésilien)




Celui qui a un jour été blessé doit se demander : Cela vaut-il la peine de remplir mon coeur de haine et de traîner ce poids avec moi ? A ce moment-là, elle recourt à l'une des qualités de l'Amour qui s'appelle Pardon. Elle s'élève au-dessus des offenses proférées dans la chaleur de la bataille, que le temps se chargera bientôt d'effacer, comme le vent efface les pas dans les sables du désert. Paulo Coelho

j'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n'entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence... "Antoine de Saint Exupery explorateur"

Nous ne sommes que des grains de sable mais nous sommes ensemble. Nous sommes comme les grains de sable sur la plage, mais sans les grains de sable la plage n'existerait pas. " Bernard Werber écrivain "

VOIR LES BONNES ADRESSES

RETOUR SOMMAIRE